Quelques adresses utiles :
BANQUES |
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- CAISSE D’EPARGNE | 27, rue Nationale |
- CREDIT AGRICOLE | 4, place de la Roseraie |
- CREDIT MUTUEL | Place de la Roseraie |
GENDARMERIE | 3, av. du Chaintreau - Adjudant-chef Patrick REDUREAU |
MARCHÉ | Place Hullin |
OFFICE DE TOURISME | Avenue de la Gare |
POSTE | Rue de la Fontaine Neuve - ALPHONSE Jean-Philippe |
HOPITAL | 1, rue Marengo - CHOLET |
POLYCLINIQUE DU PARC | rue d’Arcole - Cholet |
Centre de Secours | 18 |
DENTISTES
- GANDON Annie, orthodontiste | Centre Médical, Bellevue |
MEDECINS
- BENECH Alain, | Centre Médical, Bellevue |
- JEANNEAU Yves | 1, rue Stofflet |
PHARMACIENS
PHARMACIE | Centre Commercial |
PHARMACIE ROMEFORT | 38, rue Saint-Jacques |
Patrimoine :
Nous vous invitons à découvrir, la vieille cité mortagnaise implantée aux confins du Poitou, face à l'Anjou et à la Bretagne.
Cette ville a été depuis le Moyen Age, à la fois : gabelous, meuniers.
Elle porte dans sa chair et dans ses pierres se périodes de paix (essor de l'agriculture, de l'industrie, du commerce et du tourisme) et de guerre (invasions normandes, Guerre de Cent ans, Guerres de Religion et surtout Guerres de Vendée). | |||
| AUMONERIE NOTRE DAME |
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| Ancienne maison hospitalière fondée par Eustache de Mortagne vers 1220. |
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| PRIEURE ST PIERRE |
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| Prieuré bénédictin fondé au 10e siècle, détruit en 1583, reconstruit en 1731, prison et dépôt de l'artillerie vendéenne en 1793, Hôtel de Ville depuis 1821.
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| CHAPELLE SAINT-LEGER |
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| Édifié vers 1270, style gothique plantagenet, lieu de culte
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| PLACE DE LA LIBERTE |
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| Ancienne place du Château. |
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| TOUR DU CONCIERGE |
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| Ancienne barbacane du château (12e siècle) |
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| TOUR DE ANGLAIS |
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| A remplacé le donjon primitif carré, édifié par les Anglais vers 1350, arasée sur ordre de Richelieu. |
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| TOUR DU TRESOR |
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Édifiée au 12e siècle, embellie au 16e siècle, détruite en 1794, |
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| CHAPELLE ST-LAZARE |
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Route de Saint-Christophe "Maison de lépreux" fondée vers 1313 par Guy de Thouars, baron de Mortagne en mémoire de son épouse défunte Constance de Bretagne. |
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| PLACE HULLIN |
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| Cimetière du 12e au 16 siècle, Halles du 16e au 18e siècle |
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| ANCIENNES PORTES |
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| Porte du Bourneau |
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| LOGIS AUMONT |
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| Maison de Pierre Aumont en 1690 (blason en façade) puis Pierre Bouchet, notaire royal en 1751, enfin Michel Nivelleau, époux de Marie Angèle Bouchet, procureur de la Baronnie de Mortagne en 1785. |
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| LE CHESNE VERT |
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| Hostellerie tenue sur la place des Halles en 1650, par François Thomas, puis en 1702 par Pierre Loiseau, elle devint en 1751 la demeure de Me Henry Rochellet, notaire royal, puis de Guy Le Roy |
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| LOGIS GILLEBERT |
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| Logis de François Gillebert, marchand en 1581, puis de Pierre, il devint ensuite la propriété d'Eléonore Gillebert, épouse de Jacques de Hillerin en 1650, puis celle des Turpault, maîtres tisserands, originaires d'Anjou dont l'un des descendants Alexandre promut le passage du tissage artisanal au tissage industriel en développant le site industriel de Fleuriais. |
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| LOGIS DES AYRAUX |
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| Demeure de Pierre de Hillerin, seigneur de Saint-hilaire et de la Valinière en 1580, puis de son fils Pierre, sénéchal de Mortagne, époux de Claude Le Clerc de la Plissonière, elle passa ensuite aux Rompillon, famille de robe, puis aux Richardin, enfin aus Jahan dont Louis, chirurgien en 1702, René, apothicaire en 1749 et Jean-Louis , prêtre en 1785. |
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| GRAND LOGIS THIBAULT |
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| Remarquable maison de marchands, édifiée au 16e siècle, possède côté jardin une façade avec fenêtres à meneaux, elle fut construite par Louys et Jehan Thibault marchands de draps originaires de Champagne. |
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| LOGIS DE VAUGIRAULT |
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| Demeure de ville de de Vaugiraud, elle fut d'abords la propriété de Michel de Vaugiraud, en 1427, garde du Château de Mortagne puis de ses descendants dont François-Antoirne, lieutenant des vaisseaux du Roi qui périt en mer en 1624 et de Charles seigneur de Logerie, tué par les Huguenots à Nesmy en 1622. |
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| AUBERGE DE L'ECU DE BRETAGNE |
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| Auberge accolée à la Porte du Bourbouttault, elle fut successivement tenue par en 1650 par Pierre Boileau, en 1702 par Nicolas Guicher, ensuite par Jacques Thibaud, en 1751 par Mathieu Morand et enfin par Pierre Ambroise Legendre, en 1785, qui possédait également le logis de Queue de la Morue. |
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| LOGIS DU BRANDAGE |
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| Ce logis appartenait en 1471 à Pierre Gauvain écuyer, seigneur du Branday et la Gauvinière, capitaine du Château de Mortagne, puis en 1502 à son fils François de Gauvain écuyer, époux de Renée Gaillard, procureur fiscal de Thouars. En 1535, sa veuve passe acte de vente en son hôtel de Mortagne et partage ses biens entre ses cinq enfants dont Jacques, sénéchal de Mauléon, décédé en 1590. Fut ensuite propriété de Louis Rompillon, notaire royal en 1650, puis de Louis Soulard de la Roche, sénéchal de Chambretaud, notaire et procureur de la Cour de Mortagne. |
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| LOGIS DE BEAUREGARD ET DE STe-ANNE |
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| Propriété de Pierre Raison, Chirurgien en 1600, puis de Jacques des Fontaines, médecin, venu de Champagne en 1650 et d'André des Fontaines, chirurgien en 1702. Devint ensuite la demeure de Gabriel Gillebert notaire et procureur fiscal, puis en 1785 d'Esprit Fournier maître poislier, officier municipal en 1793. Cette maison fut la première incendiée par Marigny en avril 1794 lors de son aussault de Mortagne. |
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| LOGIS DES TROIS ROYS |
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| Maison de ville des Leclerc de la Plisson-nière en 1650, elle devint en 1702 la première école fondée par les Dames Chevez, dirigée à partir de 1751 par les soeurs de la Sagesse. E n 1793, transformée en hôpital les soeurs y soignèrent tant les blessés vendéens que républicains. Affectée à une usage de prison et de corps de garde en 1798, elle fut restituée aux Soeurs en 1802, puis transférée à la Commune en 1902. |
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| LOGIS LESVIN |
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| Cette belle maison noble du 18e siècle était originairement la demeure de Simon Verdon, époux de Guyonne Robert, conseiller du Roi, fermier général en 1580 de la maison abbatiale de la Haye (M et L), puis de René Verdon seigneur de l'Aujardière, époux de Françoise Morin en 1629. Elle passa en 1702 à la famille Baudry d'Asson, puis en 1751 à René-Marin Boutillier de la Cheze, sénéchal de Bazoges, régisseur de Baronnie de Mortagne, père de l'auteur des "Mémoires d'un Père à ses enfants" qui relate la vie mortagnaise pendant la période révolutionnaire de 1793. |
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| LOGIS LE CAMUS |
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| Maison de marchands, au Moyen-Age, elle a la particularité de posséder deux façades, l'une du 18e sur rue, l'autre à l'intérieur du 16e avec arcades. |
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| LOGIS DE LA MORANDIERS ET D'ESPIOT |
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| Maison de ville de Lorens Grenee, garde au Château de Mortagne, en 1438, puis des Charrier des Granges au 16e siècle, elle passa ensuite aux Hillirerin, noblesse de robe mortagnaise, au 16e et 18e siècle, puis aux de Fontaine des Frouschetières aux 17e et 18e siècle dont la plus célèbre fut Guy, capitaine de l'armée de Condé qui participa à la bataille de Senerfen en 1683. Son fils, Pierre de Fontaine fut en 1714, secrétaire des finances de Mme de Berry, fille du Roi. Son épouse est enterrée dans l'église de Mortagne, près des fonds baptismaux. Une de leurs filles, Modeste a été massacrée à Angers en 1793. Cette demeure fut ensuite celle d'hommes de loi mortagnais. Cet historique est commun avec celui du Logis d'Espiot. |
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| LOGIS POITEVIN (OU DES LANDES) |
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| Demeure en 1573 de René Poictevin, seigneur de la Martinière, puis Jehan Poictevin en 1650 et de Jacques de Rangot en 1702. Elle passa ensuite à Charles Chauvière, procureur fiscal en 1751, puis à Marie-Jacquette Boutillier, veuve de Jean-Gabriel de Vaugiraux, arrêtée en 1793, fut déportée et mout dans les prisons de Doué-la-fontaine. |
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| LE LYON D'OR |
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| Demeure de Gabrile Gasny en 1650, puis des héritiers de Jean de Hillerin, elle devint ensuite propriété d'Etienne Daniaud régent (maître d'école) qui y établit un pensionnat. |
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| LOGIS MAUPILLIER |
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| Demeure initialement appelée "Corne de Cerf" de Jehan Le Camus, marchand de toiles originaire de Bretagne, en 1600, puis de Pierre Pelon, également marchand de toiles, elle fur ensuite la propriété de Nicolas Pelon sieur de la Renollière, procureur en 1650, époux d'Anne de Hillerin, chargé de percevoir les impôts relevés dans les aveux. |
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| LOGIS DE LA QUEUE DE MORUE |
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| Demeure de Jehan Baudry du Chastelier, désigné à la garde du Château de Mortagne en 1489, elle passa ensuite aux Boux du Teil, dont Mathurin, maire de Nantes en 1648. |
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| GRAND LOGIS DU GARAFIN |
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| En 1521, logis de Jean de Hillerin, qui servit Louis XII, puis François 1er pendant les guerres d'Italie et qui fur tué à Brignolles avec l'armée de René de Montjean. |
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| LOGIS DE TIREPOINT |
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| En 1567, demeure de Matthieu de Lavau, écuyer, garde du Château de Mortagne, passa ensuite successivement à Jean Normand, maître tanneur, puis à René Corneille en 1650, à Jacques Clemenceau, médecin, ancêtre Georges Clemenceau, puis par alliance à Jacques Bouteillier du Coin, sénéchal de Mortagne en1785, membre de l'Assemblée du Tiers-Etat à Poitiers, premier maire de Mortagne en 1790, arrêté à Nantes en 1794, guillotiné sur ordre de Carrier, place du Bouffai. Cette maison servit de demeure en 1794. Pendant la Commune, Georges Clemenceau s'y réfugia. |
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